Le séisme de magnitude 6.3 qui a frappé Christchurch le 12 février 2011 a laissé des traces indélébiles dans la mémoire des Néo-Zélandais, mais aussi des touristes et expatriés français présents sur l’île Sud de la Nouvelle-Zélande ce jour-là. L’activité sismique est toujours suivie de très près par des équipes de scientifiques néo-zélandais, à l’heure où la démolition de la célèbre Eglise anglicane de Christchurch est en cours. Si un tremblement de terre est bien sûr imprévisible, quelques outils en ligne permettent de suivre l’activité sismique dans la région de Christchurch, pour rester bien informé.
Le service Geonet est un système de surveillance des évènements géologiques et de prévention des risques naturels (tsunami, glissement de terrain) en Nouvelle-Zélande, qui s’appuie sur différents instruments de monitoring en temps réel. Les évènements sont reportés au fur et à mesure, avec leurs données de localisation (ex : épicentre et magnitude pour les tremblements de terre), sur une liste toujours actualisée.
Le site américain USGS (US Geological Survey) fournit, en plus d’un service d’alertes en temps réel, un répertoire de liens/sources concernant l’activité sismique en Nouvelle-Zélande, et dans de nombreux pays du monde.
Google, par l’intermédiaire d’une module de son service de cartographie Google Earth, permet également de suivre sur une carte et en temps réel, l’activité sismique récente dans tous les pays du monde, dont la Nouvelle-Zélande.